La création de l'Université unique est l'occasion de mettre en place pour la rentrée de septembre 2009 une semaine d'accueil spécifique aux étudiants de L1. Jusqu'à présent, plusieurs actions hétérogènes étaient menées au sein des différentes composantes des 3 universités strasbourgeoises.
Organisée du lundi 7 au vendredi 11 septembre, cette semaine d'accueil proposera des actions communes à tous les étudiants organisées par le niveau central de l'Université ainsi que des actions spécifiques par les composantes. La semaine d'accueil est le premier contact des nouveaux étudiants avec leur composante et l'université.
Les étudiants pourront rencontrer les services, les composantes, les différents partenaires de l'Université afin de mieux comprendre le système universitaire et de faciliter leurs démarches administratives. De plus une page dédiée du site internet rassemblera les informations liées à la rentrée et l'ensemble des actions proposées par les services ou les composantes.
"Cette alternance entre actions communes et actions spécifiques dans les composantes sont le symbole de l'Université de Strasbourg : une université unique et pluridisciplinaire, unique et variée" précise la vice-présidente Joannie Crinon.
Le président et la vice-présidente Vie universitaire adresseront un discours de bienvenue aux L1 et une plaque « Université de Strasbourg » sera dévoilée à cette occasion. La volonté est également de pérenniser cette semaine d'accueil à chaque rentrée.
Village des services et des associations étudiantes, concerts, actions artistiques, activités sportives, rallye découverte du campus : la convivialité et la bonne ambiance sont de mises.
Lundi 7 septembre 2009 de 10h à 17h
Vendredi 11 septembre 2009
Réorganisation ou pas, la direction des finances, dirigée par Hélène Mangano depuis janvier dernier, a dû assurer le volet financier du paiement des salaires, reprendre la structure du budget pour l'adapter au nouvel organigramme de l'Université, former les composantes aux changements de mode opératoire, préparer la DBM... Bref, occuper le pont en continu depuis 6 mois.
Comment s'est passée la fusion ?
Elle s'est plutôt bien déroulée pour nous, humainement en tout cas. La représentation, dans des proportions équivalentes des personnels des 3 ex-établissements, a probablement joué en notre faveur.
Bien que n'ayant quasiment pas d'habitudes du travail en commun avant la préparation du budget 2009, les collègues s'entendent bien, et s'appuient mutuellement sur leurs différentes compétences.
Par contre, nous avons à gérer une plus grande complexité, les 3 universités fonctionnaient différemment, les organisations étaient différentes, les procédures budgétaires et financières aussi.
Quelles ont été vos principales difficultés ?
Les dossiers se sont succédés dès le 1er janvier. Tout d'abord, le budget 2009 avait été construit avant que le nouvel organigramme ne soit connu. Les périmètres des missions des différents services ont été modifiés impliquant une modification d'un certain nombre de budget des services.
La mise en place de la nouvelle Unité budgétaire « recherche » a également été une grosse modification structurelle, pour les laboratoires de recherche bien entendu, la direction de la recherche, mais pour nous aussi.
Bien entendu, il a fallu travailler au changement des modes opératoires, à l'homogéneïsation des procédures qui, d'une part, n'étaient pas les mêmes dans les établissements, et d'autre part, ne pouvaient pas être appliquées en l'état. L'accompagnement des composantes aux nouvelles procédures en matière financières, budgétaires, et de marchés a été réalisé collégialement par les départements de la Direction des finances, sous la responsabilité de notre collègue chargé de l'animation du réseau.
Dans le même temps, il a fallu assurer le suivi financier de la masse salariale, compétence nouvellement acquise par l'Université dans le cadre de son autonomie. Un travail en coordination avec les ressources humaines, la trésorerie générale mais aussi avec le ministère. C'est l'apprentissage !
Et comme tout le monde le sait, nous avons à enchaîner avec la préparation de la DBM n°1 (voir article). Et j'en oublie sûrement, comme les comptes financiers des 4 ex-établissements...
Quelles sont vos missions ?
Elles se lisent dans l'organigramme du service, car elles correspondent aux différents départements : budget et contrôle de gestion, achats et marchés, masse salariale et exécution budgétaire, animation du réseau. Le contrôle de gestion et la gestion de la masse salariale sont des compétences nouvelles, liées à l'autonomie de l'Université. A ces missions s'ajoutent deux « bulles », l'une concerne le contrôle interne (défintion des procédures) et travaille avec l'agence comptable, l'autre concerne la mise en place du logiciel SIFAC et travaille avec la direction informatique et l'agence comptable.
Quels sont vos chantiers à venir ?
Il y en a beaucoup, mais un gros morceau tient justement à la construction et au déploiement de SIFAC, un logiciel de gestion qui remplacera Nabucco, tout en proposant des fonctionnalités nouvelles, notamment liées à la comptabilité analytique. Il devra être opérationnel en janvier 2011, autant dire demain ! On travaille sur l'arborescence, en revoyant toutes les bases des marchés publics. Il doit également être en mesure de sortir les indicateurs de performances dont la fonction « pilotage » de l'université a besoin.
A très court terme, c'est le budget 2010 qui occupe le département budget et contrôle de gestion.
Que vous a apporté la fusion ?
A la direction des finances, l'apport principal tient à la dynamique créée par la mise en équipe de personnes très compétentes. On a pu s'appuyer sur les meilleures pratiques testées dans les précédents établissements, et bénéficier d'une vraie synergie.
Lors d'une séance exceptionnelle, le 7 juillet prochain, le Conseil d'administration de l'Université de Strasbourg sera appelé à se prononcer sur le texte du contrat quadriennal 2009-2012. Elaboré à partir du projet d'établissement, négocié avec le ministère, ce contrat est en phase de validation finale. Il est le reflet de la stratégie de l'établissement pour les années à venir.
Le CA doit se prononcer sur le texte du contrat et les indicateurs qui y sont associés. Il pourra émettre éventuellement des observations de fond, intégrant les avis du CS et du CEVU, qui auront été préalablement consultés. Ses observations seront transmises à la Direction générale de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle. Restera ensuite à l'Université de Strasbourg et au ministère à signer le contrat, ce qui devrait avoir lieu à Paris, le 23 juillet prochain, en même temps que les autres universités de la vague C.
Nommée début avril à cette nouvelle fonction, Isabelle Kraus est désormais la personne clé pour promouvoir l'égalité des traitements des personnels dans tous les domaines et lutter contre toute forme de discrimination. De multiples questions à résoudre qui vont faire bouger l'université.
Quels sont les contours de cette nouvelle mission ?
Cette mission a été portée par Alain Beretz, qui s'était fortement engagé sur ces questions lors de sa campagne. Elle se concentre aujourd'hui sur l'ensemble du personnel et comprend deux volets majeurs. Le premier concerne le respect de l'égalité entre les hommes et les femmes à l'université qu'il s'agisse de recrutement, de suivi ou de déroulement des carrières pour tous les personnels, BIATOS ou enseignants-chercheurs. Le second axe vise à l'amélioration de la qualité de vie professionnelle à l'université. Je suis à l'écoute des collègues concernés par ce type de problèmes. Je suis aussi chargée de sensibiliser chacun sur les questions d'abus de pouvoir, de harcèlement moral ou sexuel. Plus globalement, il s'agit de voir comment bien articuler carrière et vie personnelle. Chacun de nous peut avoir, par exemple, des accidents de vie et devoir s'absenter un moment (maladie, problèmes personnels). Il faut accompagner le retour des personnes dans leurs équipes de travail pour qu'elles retrouvent motivation professionnelle et performance.
Sur toutes ces questions, je peux être saisie par mon vice-président de tutelle, Michel Deneken, par le CA, l'équipe de direction ou toute personne travaillant à l'université. Ma mission est de détecter des cas récurrents d'inégalités ou toute forme de discriminations. Après analyse, je suis amenée à formuler des propositions auprès de l'équipe de direction et du CA pour mettre en œuvre des actions concrètes qui impacteront le fonctionnement de l'établissement.
Cette mission est pour moi à l'image d'un arbre qui va se développer. Ses ramifications vont dépendre des saisines des personnels. En tous les cas, je souhaite qu'elle soit bien ancrée dans le paysage, qu'elle se renforce et qu'elle perdure.
Pour quelles raisons avez-vous accepté cette nouvelle fonction ?
Mon histoire personnelle et mon parcours à l'université, mais aussi ma participation aux instances de délibération de l'université font que je me suis toujours préoccupée de la dimension humaine de l'établissement. Je m'intéresse depuis toujours à la manière dont on traite un collègue, une personne quel que soit son statut. Je pense qu'il faut écouter et accompagner les personnes qui se sentent en difficulté. Je suis par ailleurs toujours membre du groupe LMR* (ex-LouisEs) qui apporte un vrai soutien et une participation active à la réflexion sur l'égalité des femmes et des hommes à l'université. Ce groupe a l'avantage de réunir des personnes de toutes les catégories et de nombreuses composantes.
Avez-vous des homologues en France ou à l'étranger sur ce type de mission ?
Oui, il existe ce type de mission en France et par exemple en Suisse et en Allemagne mais ce n'est pas encore une pratique courante. A l'Université Claude Bernard de Lyon, il existe une mission égalité H/F pour l'ensemble de la communauté universitaire (personnels et étudiants). A Strasbourg, vu l'efficacité du Bureau de la vie étudiante sur ces questions, la mission est centrée sur les situations des personnels.
Quels sont vos chantiers ?
Je mène actuellement une étude visant à faire un état des lieux qui aboutira à une cartographie permettant de détecter les spécificités du développement des carrières des hommes et des femmes de l'Université de Strasbourg.
Le CA m'a aussi missionnée pour examiner les répartitions H/F dans les comités de sélection pour le recrutement des enseignants-chercheurs. J'ai déjà détecté des comités composés uniquement d'hommes. Il faudra comparer ces résultats aux répartitions H/F par disciplines au niveau local et national.
Michel Deneken m'a récemment saisi du dossier Dual Carrer Network, un réseau organisé dans le cadre du Rhin supérieur qui vise à aider les conjoints d'enseignants-chercheurs à trouver un nouvel emploi et à scolariser leurs enfants. Ce type de services est entièrement à monter ici et si on s'y engage, je souhaite qu'il concerne tous types de personnels.
Autre point important, je viens de soumettre au CA une disposition qui a été acceptée visant à harmoniser le congé de maternité et de paternité des enseignants-chercheurs. Désormais, toute femme aura à assurer 50% de son service d'enseignement pour un premier ou un second enfant et 20% pour un troisième enfant. Les pères qui feront valoir leur droit, devront 94% de leur service d'enseignement pour un enfant et 90% pour des jumeaux.
Et quel état des lieux faites-vous sur la question de l'égalité homme-femme à l'université ?
C'est encore trop tôt pour préciser les choses. On sait déjà pour les BIATOS que les femmes sont sur-représentées en catégorie C. Pour les enseignants-chercheurs, nous avons une prédominance masculine pour les professeurs. Au niveau national, le vivier est équivalent entre les hommes et les femmes au niveau des maîtres de conférences. Qu'est ce qui explique ce décalage dans les carrières des hommes et des femmes ? Ce sera intéressant de vérifier la situation à Strasbourg.
Qu'allez-vous proposer dans les prochains temps ?
Le travail de cartographie me permettra d'y voir plus clair, de tirer des conclusions et de proposer des actions concrètes. D'autre part, j'ai prévu d'organiser des journées thématiques (discrimination, harcèlement moral, etc.) animées par des professionnels pour favoriser l'expression des personnels. J'aimerais aussi travailler en binôme sur cette mission avec un représentant des personnels BIATOS pour compléter ma vision.
Dans les domaines de l'égalité et de la diversité rien n'est acquis et tout est à construire. Cela se fera avec le personnel qui y participera par le simple fait de s'exprimer en réunion ou de me saisir de problèmes en particulier.
A l'université tout le monde est d'accord pour veiller à l'égalité et au respect de la diversité des situations de vie au travail mais lorsque qu'il faut agir c'est une autre affaire. Il y encore beaucoup de réticences pour changer les modes de fonctionnement. Mais, si l'on veut être une université d'excellence, il faut se donner les moyens de valoriser la dimension humaine.
Pour contacter Isabelle Kraus : egalites-diversite@unistra.fr
Propos recueillis par Agnès Villanueva
* LouisEs-MarcellEs-RobertEs, est le nom que se donne provisoirement le groupe de réflexion informel interuniversitaire issu des LouisEs, qui traite de questions liées à l'humain, au respect de la diversité et de la solidarité entre hommes et femmes. Ce groupe a inspiré la mise en place de cette nouvelle charge de mission égalités-diversité.
Près d'une centaine de personnes a participé, le 25 juin dernier, à la journée de réflexion autour du métier d'enseignant et des formations professionnalisantes, organisée par la présidence de l'Université. Des échanges fructueux qui ont permis de revenir sur les interrogations autour de la formation des enseignants. Et aussi de dégager quelques pistes de réflexions pour l'avenir : quelles sont les bonnes bases pour construire une formation ? Comment ne pas opposer formation disciplinaire et professionnalisante ? Comment valoriser les stages dans le mode professionnel, si nécessaires en complément de la formation ? Comment rapprocher le disciplinaire et le pédagogique pour les faire interagir ? Comment conserver le lien à la recherche dans la formation des enseignants.
La suite à la rentrée...
« Si j'osais, je me permettrais de reprendre un slogan souvent entendu ces derniers temps au sein de l'université : elle est unique ! ». C'est par cette boutade qu'Alain Beretz entame la conférence de presse présentant la carte Mon pass campus Alsace aux journalistes.
Unique, cette carte l'est pour trois raisons : tout d'abord, lancée à l'initiative de la Conférence de présidents des universités d'Alsace en 2007, elle rassemble un certain nombre d'acteurs de la vie universitaire autour d'une table, et parmi eux « deux majeurs, la CTS et le CROUS, ce qui confère à la carte une grande valeur symbolique », souligne Joannie Crinon, vice-présidente vie universitaire de l'Université de Strasbourg. A ce titre, Christian Chazal, directeur du CROUS de l'académie de Strasbourg, rappelle que ce projet « n'est pas neutre pour le CROUS, car celui-ci utilise déjà une carte de paiement depuis 20 ans. Il y aura donc co-existence des deux systèmes à la rentrée pendant quelques semaines, mais les usagers s'adapteront, c'est certain ».
Par ailleurs, Mon pass campus Alsace regroupe sur un seul support un ensemble de services, ce qui va grandement simplifier la vie des étudiants mais aussi des personnels. « C'est la première carte de ce type en France à être dotée de la fonctionnalité transport », indique Alain Beretz. Jean-Philippe Lally, directeur général de la CTS, abonde en ce sens en expliquant qu'un « réseau de transport n'est réellement efficace et performant que si chacun y a accès ; dans le cadre du travail mené en ce sens, cette première est un avantage décisif ».
Enfin, cette carte est un premier pas vers un espace universitaire d'Alsace. « C'est un exemple pragmatique simple qu'en Alsace, quand on a envie de faire quelque chose ensemble, on peut y arriver très rapidement », témoigne Pierre-Alain Muller, 1er vice-président de l'Université de Haute-Alsace. Aujourd'hui destinée aux étudiants et personnels des deux universités, la carte a vocation à être étendue demain aux élèves des écoles d'ingénieurs et à embarquer de nouvelles fonctionnalités afin d'être utilisée aussi bien à l'université que dans la cité.
La distribution de Mon pass campus Alsace débutera pour les étudiants en même temps que les inscriptions, à savoir le 6 juillet pour l'Université de Haute-Alsace et le 25 août pour l'Université de Strasbourg. Pour les personnels, elle se fera progressivement à partir du mois de septembre.
Vous trouverez un petit film de présentation de la carte Mon pass campus Alsace et toutes les informations nécessaires sur le site www.passcampus-alsace.fr.
La décision budgétaire modificative n°1 est sur le point d'être adoptée. Cette proposition de modification budgétaire permet de réajuster le budget en y intégrant des recettes et dépenses imprévues au moment du vote du budget.
Le budget initial se montait à 406 millions d'euros en recettes - 430,8 millions d'euros en dépenses. Après prise en en compte de la DBM (8,5 millions d'euros en recettes - 29,3 millions d'euros en dépenses) et intégration des contrats gérés par la technique des ressources affectées, on obtient un budget modifié de 434,3 millions d'euros en recettes - 480 millions d'euros en dépenses. Les dépenses de fonctionnement se montent à 120 millions d'euros, la masse salariale (Etat + budget propre) à 304,3 millions d'euros, les dépenses d'investissement à 56,3 millions d'euros. Le prélèvement prévisionnel sur le fonds de roulement (les réserves de l'université) se monte à 40,3 millions d'euros, dont 8,7 millions concernent le report d'opérations de fonctionnement de 2008, exécutées en 2009 du fait de l'arrêté précoce des comptes 2008 pour cause de fusion des 3 ex-universités).
Plus d'informations
Conformément à l'arrêté ministériel du 9 novembre 2007, le service de l'eau de la Communauté Urbaine de Strasbourg va procéder au remplacement du compteur d'eau.
La coupure d'eau aura lieu le mercredi 8 juillet de 8h à 14 h sur le campus de l'Esplanade.
Ces travaux sont nécessaires pour la mise en conformité des réseaux d'adduction d'eau potable.
Cette coupure n'affecte pas le réseau d'eau des puits.
Nous vous conseillons de prendre les dispositions de coupure d'eau suivantes :
Merci de votre compréhension et de votre coopération.
Contact
Pierre Paul GERARD, responsable du département maintenance non bâti
Tél.03 90 24 08 66
Courriel : pp.gerard@unistra.fr
Le 4e étage de l'Institut Le Bel « nord », qui abrite 600 m2 de bureaux et laboratoires de chimie, est actuellement en travaux. Il s'agit d'une restructuration complète des locaux. Le chantier, d'un montant de 1,3 million d'euros se terminera à la fin de l'année 2009. Des travaux sont également programmés aux niveaux 6, 8 et 9 « nord » pour installer des centrales de traitement d'air.
Par la suite, toute la partie « sud » de l'Institut, du 4e au 9e étage (laboratoires), devrait être restructurée et mise aux normes. La Direction du patrimoine immobilier travaille aujourd'hui sur la programmation de cette phase ultime de travaux de restructuration de toute la recherche en chimie à l'ILB.
Renforcer les liens entre l'Alsace et la Hongrie, tel est l'objectif principal du partenariat entre le Consulat de Hongrie et l'Ecole de Management Strasbourg. C'est dans ce cadre que l'Ecole organise, vendredi 3 juillet 2009 de 16h à 17h dans ses locaux, une cérémonie officielle en présence
notamment de Richard Jungto, consul honoraire de la république de Hongrie, Alexandre Jungto, responsable du pôle études et jeunesse du Consulat, Michel Kalika, directeur de l'EM Strasbourg, Babak Mehmanpazir, directeur délégué du Programme Grande Ecole et Ludwig Kreitz, directeur des relations internationales.
France 3 Alsace a réalisé une série de reportages sur L'héritage de l'art nouveau dans la vallée du Rhin supérieur. Le bâtiment qui abrite l'Institut des Hautes Etudes Européennes, la villa Knopf, construite entre 1903 et 1905 par les architectes Berninger & Kraft figure dans ces reportages. Si vous souhaitez voir ces documents, la série est diffusée depuis le 27 juin 2009 à 18h55 sur France 3 Alsace et sur alsace.france3.fr, ainsi que sur le site du CRDP dans le cadre de la mise en place d'un programme d'enseignements en histoire de l'art que doit lancer le rectotat. Il y aura environ 80 films de deux minutes trente environ et qui concernent divers bâtiments de style art nouveau dans l'espace du rhin supérieur.
La vacance du poste de directeur de l' Ecole européenne de chimie, polymères et matériaux (ECPM) est parue au BO de ce jour.
Vous trouverez le détail sous le lien suivant :
http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/pid20536/rubrique-bo.html?cid_bo=28684
Un appel à candidats est lancé pour un poste de directeur de l'Ecole supérieure de biotechnologie de Strasbourg (ESBS). Ce poste devra être pourvu à partir du 16 novembre 2009.
La date limite de candidature est provisoirement fixée au 1er septembre 2009.
Téléchargez l'appel à candidature.
« il faut se donner les moyens de valoriser la dimension humaine »